Blog

Sensibilisation au High Key

Qu'est-ce qu'un High Key ? Un High Key est défini parfois comme la traduction d'un sujet par des valeurs de gris très faibles. Le High Key doit aussi présenter quelques touches de noirs relativement intenses exemples : les yeux, sourcils, lèvres, cheveux noirs du mannequin, un collier sombre, un bracelet...

Le Clair obscur (portrait et nu)

DESCRIPTION Les parties claires côtoient immédiatement les parties sombres faisant référence à la technique des peintres de la renaissance. L’émotion est créée grâce à l’effet 3D, les ombres, la lumière et le contraste. CREATION DU THEME octobre 2008 TEINTE DES IMAGES couleur, noir et blanc ou mélange des 2 ; les trois conviennent parfaitement NIVEAU TECHNIQUE moyen à difficile ECLAIRAGE la lumière peut être dure ou douce, la position du modèle par rapport à la source de lumière influe directement sur les ombres du visage et du corps MODELE CHOISIE idéalement une modèle ayant des formes MATERIEL tous boitiers numériques ou argentiques (moyen ou petit format), focale standard POST PROD retouches à réaliser pour équilibrer les taches de lumières et la densité des ombres sur le corps et le visage, le fond reste  sombre, il faut choisir entre un fond noir ou gris foncé. Pour la couleur il faut essayer de retrouver les tonalités clair-obscur des peintres de la renaissance (réglage de la saturation, du contraste et de la balance des blancs) LIENS INTERNES le clair-obscur   Témoignages LIENS EXTERNES le clair-obscur exemple d'images sur Flickr Sandy Olson (style Caravage)  ...

Les moyens formats argentiques

L'argentique possède encore de très beaux restes avec le moyen format car les résultats sont réellement magnifiques. Il offre une augmentation sensible de la résolution, mais il y a d'autres avantages qui en font un outil unique dans le répertoire d'un photographe. Avec 3-4 fois la surface d'un négatif 35mm, le format moyen peut être agrandi de façon significative sans perte de qualité. Il est souvent facile de détecter les images réalisées avec un moyen format, même lors de l'affichage sur le Web. Il a un petit quelque chose en plus, une signature qui est souvent reconnaissable mais difficile définir. Il vient  du modelé, de l'absence de distorsion et de la qualité du flou (bokeh). Cela rend les photos plus naturelles, plus proche de ce que votre œil voit dans le monde réel. Pour la prise de vue en studio ou le paysage le moyen format reste très adapté et permet une grande finesse de grain avec un modelé impossible à atteindre avec un film 35 mm. Le prix d'une bobine 120 est de 3 à 6 euros environ en noir et blanc. Les appareils moyens formats argentiques ne sont disponibles, pour la plus part, qu'en occasion. Les prix sont encore très bas. Avantages des moyens formats qualité d'image exceptionnelle avec, en N&B, un superbe dégradé de gris ! c'est un vrai plaisir de visionner des négatifs aussi grands (surtout le 6x9) possibilité de scanner avec un scanner à plat ou un reflex numérique (économique et performant) le roll film 120 reste le "carburant" de base du moyen format, il est encore facilement disponible ces appareils sont souvent "PRO", très solides, d'une grande qualité de fabrication avec de superbes optiques agrandissement : assez facile à tirer en argentique (plus aisé que le 24x36). Inconvénients du moyen format poids, encombrement, lenteur, tenu en main pas toujours confortable visée pas toujours clair, mise au point parfois difficile souvent il faut mesurer la lumière avec une cellule à main prix de revient par image élevé dû au prix du négatif. Les format moyens disponibles Le 4,5 x 6 : il permet une compacité appréciable des appareils tout en fournissant des agrandissements de qualité professionnelle Le 6 x 6 : assez compact, à peine plus encombrant que les 4.5 x 6. L'archétype est le Rolleiflex 6x6 à 2 objectifs avec visée par dessus Le 6 x 7 : le format exact du négatif est généralement de 56 x 69,5 mm. Son format est compatible avec la pleine page des magazines (format...

Art photographique

Le nu est l'un des sujets photographiques le plus inspiré, le plus traité, mais pour certains il reste encore sujet à controverse et à défi. Cet ouvrage propose une plongée dans les images de photographes contemporains, les plus talentueux, et dans une sélection de celles de photographes influents, aujourd'hui disparus, comme Robert Mapplethorpe et Guy Bourdin. Des années 30 aux années 70, cinquante ans de corps féminins vus par Willy Ronis, accompagné d'un texte original de Philippe Sollers. Willy Ronis voulait Sollers. Sollers n'attendait que ça. Il a dit oui pour Ronis, immédiatement. Le texte de Philippe Sollers aborde et souligne tout ce qui rend précieux et unique le travail de Willy Ronis sur le nu. Philippe Sollers : 'Les nus de Willy Ronis, dans leur extraordinaire naturel, sont sacrés'. Terry Hope est l'auteur d'une série d'ouvrages de photographie noir et blanc, il est né en 1956, a étudié la photographie au Harrow Collège de Londres au milieu des années 1970. En 1981 il s'est lancé dans le journalisme photo pour le compte de Camera Weekly jusqu'en 1989. Après une période de travailleur free-lance, il est devenu rédacteur en chef adjoint du magazine Amateur Photographer, l'un des plus vieux périodiques photographiques du monde. En 1998, il redevient free-lance. Actuellement il collabore régulièrement, sur des sujets divers, à la presse nationale anglaise, comme The Times, Sunday Telegraph et The Gardian ainsi qu'à d'autres publications spécialisées dans le domaine photographique. Il entretient une relation étroite avec certains grands photographes internationaux. Il a collaboré, durant quatre ans, à une chronique de David Bailey dans Amateur Photographer. L 'écrivaine à succès Alina Reyes, d'un côté, le photographe talentueux du corps féminin Bernard Matussière, à qui l'on doit notamment les clichés des toutes premières campagne Aubade, et des reportages retentissants de vérité publiés en livres, notamment sur Cuba, de l'autre. Alina Reyes a accepté de poser totalement nue pour ce livre particulier, dans lequel elle s'est lâchée et attachée à souligner la beauté du corps, l'histoire du nu féminin dans la mythologie, l'Histoire et l'imaginaire international depuis l'aube de l'humanité. Tout désigne le Nu comme un phénomène qui a si bien " collé " à la culture européenne que nous n'en sommes jamais sortis. Tant il relie l'Occident d'un bord à l'autre, d'une époque à l'autre et même d'un art à l'autre, y compris la photographie, et a servi continûment de base dans la formation des Beaux-Arts. L'Eglise a pu...

Focale fixe vs Zoom

Dois-je investir dans un zoom ou dans une ou plusieurs focales fixes ? Tous les constructeurs d'appareils reflex proposent les deux à juste titre ! Certains photographes pensent que la focale fixe stimule la créativité et la recommande au photographe débutant...

Le diptyque en photographie

Origine du diptyque A l'origine le diptyque était un dessin ou une peinture en deux parties. Le format pouvait être sous forme de paysage ou de portrait, mais ils étaient généralement de la même taille. Le diptyque était parfois une image continue mais divisée ou composée d'images séparées, étroitement apparentées. Souvent, vous verrez des portraits d'un couple avec une personne sur chaque panneau. Le mot diptyque vient du grec ancien δίπτυχος / díptykhos, « plié en deux »). Le mot «ptykhe» était le nom des tablettes d'écriture pliantes à l'époque romaine soit deux panneaux de bois, le plus souvent, articulées entre elles avec des surfaces intérieures revêtues d'une couche de cire prévues pour écrire. Le diptyque en photographie Un diptyque en photographie est une œuvre composée de deux photos dont les sujets se regardent et  se complètent l'un l'autre pour créer plus de tension que ne le feraient les images séparément. Le fait d'appareiller deux photographies sur une page, un mur ou un cadre a une influence cruciale sur la façon dont elles seront vues : les images se reverbèrent l'une l'autre créant un jeu de miroir dans la pensée. Un  diptype peut être composé : de deux images jointes ce qui en fait une sorte de tableau, les deux images fontionnent comme une image unique ou de deux images séparées par un espace. Cet espace se met à compter autant que les images elle-même. Fondamentalement on trouve dans les arts plastiques (peinture, sculpture, photographie...